Dans la région des marches folkloriques
Gerpinnes · 45 km
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Le Château d'Acoz est situé dans la vallée de la Biesme, au milieu de terres agricoles, de forêts et de collines. A l'origine, au XIIe siècle, le château, ayant la forme d'un quadrilatère fortifié, appartenait à l'abbaye de Floreffe. Plus tard, le domaine a été la propriété de différentes familles : Marotte, d'Udekem et Pirmez. En 2001, Tony Cammaert, un antiquaire bruxellois réputé, et spécialiste de l'art japonais, a acquis le château. Il a alors réalisé une profonde restauration de celui-ci, et, à l'été 2020, le château d'Acoz a été mis en vente pour une somme de 5,5 millions d'euros.
Au Musée des Marches, vous saurez tout sur les marches entre Sambre et Meuse. Des dizaines de défilés sont organisés chaque année pendant les mois d'été. Les quelque 130 sociétés regroupent 10 000 marcheurs. Les tout premiers cortèges militaires datent du Moyen Âge. Même de nos jours, tout fonctionne toujours selon un script strict. Les sapeurs sont en tête, suivis de la batterie avec ses tambours et ses fifres. Les principaux officiers suivent généralement à cheval. La relique conclut la marche. Peu de femmes y assistent, à l'exception de la cantinière qui se charge de l'approvisionnement en boissons. La reconnaissance par l'Unesco prouve que les défilés militaires sont uniques : depuis 2012, les marches folkloriques sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial immatériel.
Le nom dit tout... Surtout au XIIIe siècle, des potiers y travaillaient. Et bien qu'il n'y a plus d'ateliers de poterie à Villers-Poterie depuis des siècles, la sainte patronne de cet artisanat y est toujours célébrée : Sainte-Radegonde. Radegonde n'est pas seulement la patronne des potiers, mais également des prisonniers et des tisserands. Elle est invoquée contre les éruptions cutanées, les ulcères, la gale et l'eczéma. Vraiment une sainte polyvalente !
A l’origine Château médiéval, il a subi quelques transformations après avoir été incendié par les Sans-culottes en 1790. Vers 1830, le complexe est passé aux mains de la famille Henseval, qui l'a transformé en une maison-entrepôt. À la fin du XIXe siècle, une brasserie a été installée. Juste après la Première Guerre mondiale, le sidérurgiste Louis Piret a acheté le château et l'a fait restaurer en profondeur. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château a de nouveau été gravement endommagé lorsque les Allemands ont fait exploser un transport de munitions français qui se trouvait à proximité. Aujourd'hui, le complexe est la propriété de la famille Corbeau. En 1984, un certain nombre de scènes du film De Leeuw van Vlaanderen (Le Lion des Flandres) ont été tournées ici.
Toen halverwege de 18de eeuw in de streek van Charleroi ijzerertslagen werden ontdekt, besliste men in 1763 in Thy-le-Château een hoogoven te bouwen. Het leek een uitstekende plek voor een smederij en gieterij. Behalve ertsen waren er bossen in overvloed, ideaal voor de productie van houtskool. Het snelstromende riviertje Thyria leverde de nodige energie. In de 19de eeuw was de ijzerindustrie op haar hoogtepunt, maar na de crisis van 1893 verhuisde men de installaties naar Marcinelle. In 1904 richtte mijnbouwingenieur Louis Piret de Société Métallurgique de Saint-Éloi op. Vóór de Tweede Wereldoorlog werkten er honderden arbeiders in deze walserij. In 1987, na de herstructurering van de Waalse staalindustrie, ging het bedrijf failliet. Op de terreinen is nu een staalsnijwerkplaats gevestigd.
Tegenover de kerk van Gourdinne huist het typische volkscafé Saint-Walhère. Dankzij al die heiligen raak je af en toe aan een verfrissend drankje..
Le forêt de Le Tournibus couvre 600 ha. De magnifiques chemins forestiers traversent ce joyau dont la nature nous a fait don. Une grande partie est la propriété de la Région wallonne. Pendant plus de 30 ans, la forêt a été utilisée pour cultiver des plantes forestières pour d'autres forêts domaniales en Wallonie.
Gerpinnes est située entre la Sambre et la Meuse, au sud de Charleroi, à la frontière entre les provinces du Hainaut et de Namur. Cette commune est le centre névralgique des « Marches de l’entre Sambre et Meuse », une tradition folklorique prise très au sérieux dans cette région. Les villages que vous traversez restent ensommeillés toute l'année et semblent reprendre vie pendant un week-end. Chaque village vénère son saint local. Entre mai et septembre, chaque famille respectueuse de cette tradition sort le drapeau folklorique. Le parcours suit les traces de ces marches folkloriques. Vous ne rencontrerez pas souvent âmes qui vaillent. Vous traversez une zone agricole, avec ici et là une forêt. Le silence est, pour ainsi dire, assourdissant. Bref, un parcours de rêve pour ceux qui n'aiment pas la foule. Tenez compte du fait que vous devrez rouler sur de longs tronçons de routes mal goudronnées, sur des routes de champs et de forêts. Alors assurez-vous d'avoir un vélo capable de relever le défi !