De la Nèthe au Nekker
Lier · 45 km
Cliquez ici pour la version courte de 28 kmLier · 28 km
Cliquez ici pour la version longue de 45 km’t Oud Lier est une brasserie agréable, située près de la Nèthe. Par beau temps, vous pouvez déguster une bonne collation ou une boisson rafraîchissante dans le magnifique jardin. Il est également agréable de s’asseoir à l’intérieur. Dehors, il y a une aire de jeux pour les enfants.
L'histoire du Château de Zellaer entouré de douves remonte au XIIIe siècle, mais ce que vous voyez aujourd'hui n'est pas le bâtiment original. En effet, au fil des siècles, le château a été reconstruit à plusieurs reprises et, malgré son aspect robuste - avec pont-levis, donjon, créneaux et embrasures - le bâtiment actuel ne date que de 1885. Les pierres de sa façade proviennent de la démolition des murs de la ville de Vilvorde. Le parc du château (18,5 ha) contient encore de nombreux éléments historiques, tels qu'une structure de canaux, un étang et des allées qui convergent vers une étoile centrale. « Kempens Landschap » et la municipalité de Bonheiden travaillent actuellement à un plan de gestion intégrée de la nature et du patrimoine dans le but de donner au domaine une fonction à caractère public.
Café vélo De Schuur se trouve sur le domaine Roosendael.
La Tour Zimmer était à l'origine la tour médiévale Cornelius. Elle était autrefois une composante de la première enceinte de la ville. L'horloger Louis Zimmer y a installé sa « Jubelklok » (horloge jubilaire) en 1930, à l'occasion du centenaire de l'indépendance de la Belgique. Cette étrange horloge fonctionne grâce à une horloge maîtresse, sans entraînement électrique, et affiche treize horaires différents. Dans le musée situé à côté de la tour, vous pouvez voir l'atelier de Louis Zimmer.
Van dinsdag tot zondag van 10 tot 12 u. en van 13 tot 17 u.
Le béguinage de Lierre est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1998. Il s'agit d'un béguinage typique du XIIIe siècle. Les portes d'entrée des maisonnettes portent le nom d'un saint ou d'une scène biblique. Elles datent pour la plupart des XVIIe et XVIIIe siècles. Certaines présentent des avant-cours et des entrées typiques. À l'origine, ces maisons étaient habitées par des béguines : des femmes veuves ou célibataires, très pieuses, qui pouvaient y mener une vie indépendante sous la surveillance d'une Grande Demoiselle. La dernière béguine lierroise, soeur Agnès, mourut en 1994.
Le surnom des habitants de Lierre est « schapenkop » (tête de mouton). On dit que l'origine de ce surnom remonte au XIVe siècle, lorsque le duc Jean II a voulu remercier les Lierrois pour leur contribution à la lutte contre les Malinois. Le duc leur proposa de choisir entre deux récompenses pour la ville : une université ou un marché aux bestiaux. Même si le choix du droit d'entrepôt sur le bétail était économiquement intéressant pour Lierre, on raconte que le duc aurait soupiré « Mon Dieu, quelles têtes de moutons ! ». L'université - la récompense pour laquelle Lierre n'a pas opté - est finalement allée à Louvain. Une belle oeuvre d'art faisant référence à cette légende se trouve dans la rue Schapenkoppenstraat, à droite du musée Zimmer.
Doorlopend te bekijken.
À côté du chemin de halage, le Hof van Ringen resplendit dans son environnement verdoyant. Ce beau château aux impressionnantes colonnes doriques a été construit au XIXe siècle par la famille Berckmans-Van den Brande. Après la Première Guerre mondiale, le bâtiment était gravement endommagé, mais il a été magnifiquement restauré depuis. Le résident actuel est le créateur de mode anversois Dries Van Noten.
Le nom « Roosendael » fait référence à l’abbaye cistercienne qui a probablement été fondée ici en 1221. Aujourd’hui, il est difficile de se représenter l’impressionnant complexe autour de la magnifique église baroque. L’abbaye a été pillée et détruite à plusieurs reprises au XVIe siècle et il ne reste presque plus rien des bâtiments d’origine. Le portail date de 1777, la remise de 1781. Quelques années plus tard, sous la domination française, les religieux ont été définitivement chassés. L’abbaye a été en grande partie démolie pour pouvoir vendre les matériaux de construction.
Le domaine De Nekker est l'endroit par excellence pour se détendre de façon agréable. Vous y trouvez un étang de baignade, un étang de jeux,plusieurs terrains de jeux et le terrain de jeux couvert, Nekki.
Le quartier situé à l'est de Malines est dénommé « Nekkerspoel » et la zone provinciale de sports et de loisirs située de l'autre côté de la N15 s'appelle simplement « De Nekker ». Le nom fait référence à un démon imaginaire qui, au Moyen Âge, provoquait, pendant la nuit, la noyade des habitants du quartier marécageux de la Dyle. Dans le Nekkerhal on organise souvent des grands événements.
Le Fortuin fut probablement construit au XVIIe siècle et modifié au XVIIIe siècle. D'abord utilisé comme entrepôt à céréales, il servit ensuite d'entrepôt à charbon, d'usine de limonade, d'ébénisterie, de dépôt municipal et établissement horeca. Aujourd'hui, le bâtiment est un bâtiment d'appartements.
Timmermans a décrit ce confluent comme un noeud d’argent, « ... où soudain le Brabant gras du ventre, bouillonnant, se sépare du Kempenland chétif et rêveur. »
Depuis le pont Sint-Jansbrug, vous avez une belle vue sur la Nèthe intérieure, Vous y pouvez faire un tour en bâteau-mouche.
Le parc communal est une oasis de calme dans le centre de la ville. Vous pouvez flâner le long de l'étang et ses ponts blancs et improviser un pique-nique sur la pelouse. De dimension modeste, le parc présente une immense valeur en raison des essences d'arbres très variées qu'il renferme. Outre les spécimens indigènes, on trouve également diverses espèces exotiques, comme l'ailante, le métaséquoia du Sichuan, le marronnier d'Inde, etc.
Au cours de cette randonnée, vous roulerez en aval de la Nèthe, en direction de Walem, puis vers le sud jusqu'à proximité de la zone de loisirs De Nekker à Malines. Sur le chemin du retour, vous flânerez depuis le château Zellaer jusqu'à la forteresse de Koningshooikt, pour revenir à « Lierke Plezierke » ... où probablement vous vous attarderez un moment. Dans la ville de Felix Timmermans, le personnage le plus connu de son roman est vraiment omniprésent. Son nom est d'ailleurs devenu une expression flamande courante : un « pallieter » est quelqu'un qui aime « se la couler douce », un glouton et un épicurien. Et à Lierre, on peut prendre du plaisir sur presque toutes les places et dans toutes les rues. Peu de villes ont en effet autant de cafés et de terrasses. Et pour couronner le tout, il y a les nombreux bâtiments historiques du Grand'Place, la place Zimmerplein et le béguinage, lequel figure sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.